“Rien ne se perd, tout se transforme”, disait Lavoisier. Peut-être, mais la question est aussi de savoir vers où se fait cette transformation.

La vulnérabilité, elle aussi, est une énergie. Sauf que trop souvent, nous ne savons pas l’exploiter. Et elle demeure enfouie, sous le sol, réserve insoupçonnée de richesses, d’inspirations et de capacité d’engagement.

Tout ce qu’il nous manque pour utiliser l’énergie de la vulnérabilité ? C’est un convertisseur – un peu l’équivalent d’une dynamo de vélo.

Dans les épisodes précédents, nous avons vu qu’accueillir la vulnérabilité permet davantage d’alignement, de créer des liens ou encore de favoriser la créativité. Dans ce cinquième épisode, nous explorons la manière dont la vulnérabilité peut libérer l’énergie puissante de l’engagement.

Cette énergie nous oblige à rechercher l’équilibre et la durabilité, dans nos modèles d’affaires comme pour notre épanouissement personnel.

Ce n’est pas simple, mais en bon marins, nous apprenons à négocier les vents, même contraires ou capricieux. En acceptant de hisser les voiles, on peut être surpris de tout ce que l’on accomplit.

C’est l’histoire de notre grand témoin de la semaine, Olivier Goy. Entrepreneur à succès dans la fintech, père de 2 enfants, sa vie a basculé ce jour de décembre 2020 où on lui diagnostique la maladie de Charcot. Si la maladie amoindrit chaque jour davantage ses capacités physiques, elle a aussi décuplé ses forces vitales et son engagement.

Apprenez à convertir la vulnérabilité en énergie et retrouvez son témoignage dans le 5e épisode du Tour du Monde des Vulnérables.

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